L’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier soutient le développement du site de Marcoule.
Héritière de la longue et riche tradition de la Chimie à Montpellier (ENSCM), l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier forme des ingénieurs chimistes de haut niveau.
Sa formation généraliste les prépare aussi bien aux métiers de la production, de la recherche que du management dans les domaines de la chimie fine et de la santé, de la chimie des matériaux, de l’environnement et du développement durable. L’internationalisation, l’intensité concurrentielle et l’évolution rapide des technologies de l’industrie chimique sont des facteurs qui sont pris en compte dans la formation des ingénieurs chimistes de l’ENSCM grâce :
- à une part importante accordée à la formation en entreprise et à des liens forts avec la plupart des grands groupes industriels,
- à un fort appui sur la recherche, Montpellier constituant l’un des tous premiers pôles de recherche en France dans le domaine de la chimie,
- à un appui sur des structures de transfert de technologies et de valorisation avec une unité pilote industriel, une halle de technologie et un incubateur d’entreprises,
- à une ouverture internationale par la pratique de deux langues vivantes étrangères et une expérience exigée en entreprise ou en université à l’étranger.
Quelques chiffres clés :
- Plus de 3350 diplômés, 350 élèves, 44 enseignants et enseignants-chercheurs, 45 Ingénieurs, techniciens et administratifs
- 1 tronc commun de formation généraliste et 2 dominantes (déclinées en 7 offres optionnelles ouvertes sur les frontières de la chimie) : « Chimie – Santé » et « Chimie – Matériaux – Environnement ».
- 9 à 12 mois de stages industriels en France ou à l’étranger
- 1 expérience à l’international intégrée au cursus
- 4 Laboratoires de Recherche ENSCM/CNRS. 130 chercheurs permanents et 60 doctorants
- 2 Chaires internationales
- 1 Institut Carnot
- 1 Unité Pilote industrielle, 1 Halle de technologie, 1 Incubateur d’entreprises
L’ENSCM apporte son soutien au développement du site de Marcoule et à l’ICSM (avec 2 enseignants chercheurs actuellement), en réponse aux enjeux du nucléaire du futur (programme d’enseignement).