La Région Languedoc-Roussillon

La Région Languedoc-Roussillon s’engage en faveur de la recherche et de l’innovation :
Le Languedoc-Roussillon dispose d’un potentiel de matière grise qui lui permet de rivaliser avec les régions européennes les plus performantes. Il est le 5ème pôle français en nombre de chercheurs, la 3ème région au Concours national de la création d’entreprises innovantes du ministère de la Recherche, au 4ème rang des incubateurs nationaux en nombre de projets incubés et 2ème en nombre d’entreprises créées.

 

La Région Languedoc-Roussillon s’est volontairement mobilisée pour que la recherche soit un des moteurs de la croissance de son territoire en instaurant des dispositifs de soutien à des projets d’excellence, attractifs et sources d’innovation, s’inscrivant dans deux grandes stratégies :

  • Le développement du potentiel régional de recherche
  • L’application de la recherche aux entreprises

Ainsi la Région prend une part active à la structuration des principaux domaines d’excellence de la recherche en Languedoc-Roussillon :

  • chimie nouvelle pour le développement durable,
  • agronomie-environnement (Agropolis International),
  • biologie-santé,
  • sciences de l’ingénieur (mathématiques, physique, mécanique, informatique, électronique et systèmes),
  • ·sciences humaines et sociales.

Elle investit près de 77 millions d’euros pour la Recherche dans le Contrat de Projets Etat-Région 2007-2013 et 43 millions d’euros pour l’enseignement supérieur. Elle a par ailleurs pleinement participé à la constitution d’un pôle universitaire unique de niveau mondial, regroupant formation, recherche et valorisation, en s’engageant à travers le projet Campus « Université Montpellier-Sud de France ».

Le financement de l’Institut

Dans le contrat de projets Etat-Région (CPER) signé pour la période 2007-2013, la Région Languedoc-Roussillon s’est engagée aux côtés de l’Etat, ce dernier intervenant par le biais des subventions qu’il verse au CNRS ainsi qu’au CEA. Le groupe ARCELOR-MITTAL s’est également associé au projet, au titre de la reconversion du bassin économique de L’Ardoise, proche de Marcoule.

  • Construction du bâtiment : 8 M¤ (Région : 4,00 M¤, CEA : 4M¤),
  • Plateau technique : 4,80 M¤ (Région : 2,20 M¤, CNRS : 1 M¤, CEA : 1,60 M¤),

Le financement de l’Etat intervient au travers du CEA et du CNRS.
TOTAL : 12,80 M¤